Qu’est-ce que je pratique au quotidien ? Si ce n’est ce que je connais déjà… Et ce que je connais (même si je pratique pour m’en débarrasser), ce qui vient en 1er, c’est le jugement, la peur, la colère, la culpabilité, l’attaque parfois,… Je ne veux pas continuer à mettre en pratique ces croyances et réactions […]
Qu’est-ce que je pratique au quotidien ? Si ce n’est ce que je connais déjà… Et ce que je connais (même si je pratique pour m’en débarrasser), ce qui vient en 1er, c’est le jugement, la peur, la colère, la culpabilité, l’attaque parfois,… Je ne veux pas continuer à mettre en pratique ces croyances et réactions qui me mènent au conflit, au combat et à la souffrance.
Comment faire pour changer cette pratique ? Pratiquer quelque chose de nouveau, petit à petit … Pour que cette nouvelle pratique prenne la place de l’ancienne dans l’ouverture au nouveau, au changement, encore et encore… Cela demande de la volonté, courage, détermination, engagement, ouverture au changement … Et cela apporte la paix profonde, harmonie, amour, joie infinie.
Alors que vais-je pratiquer et comment? Je pourrais commencer, purement et simplement, par pratiquer la prise de conscience. Prendre conscience de mes ressentis/émotions/envie de réaction, de mon attaque. Ne pas les déguiser, ne pas les nier, ne pas les projeter sur d’autres personnes (s’aider des « 4 accords toltèques » par exemple). Simplement, je regarde ces phénomènes lorsqu’ils apparaissent dans ma conscience. J’accueille, je plonge dans le ressenti de ces émotions, INSPIRER, j’accepte, EXPIRER – INSPIRER et je lâche, EXPIRER. Je recommence autant de fois qu’il faut pour sentir ce moment où « ça » lâche. Et si je n’y arrive pas, ne pas me dévaloriser/culpabiliser. Je peux me faire aider : méditation (aussi une pratique), thérapie, coaching,… (> « méthode 100%toi »).
Je peux aussi demander : « Pourquoi suis-je en colère? Pourquoi est-ce que je ressens le besoin de me défendre ? Qu’est-ce qui m’effraye ? Qu’est-ce que ça vient nourrir en moi ? Qui/Quoi a intérêt à ce que je sois dans cette émotion ? ». Continuer de me poser ces questions jusqu’à ce que je commence à percevoir la source de ma colère et de ma peur. Une fois que j’ai traversé ces niveaux émotionnels (ou niveaux de conscience), je découvre que c’est un sentiment inconscient de culpabilité ou de honte, imperfections, dévalorisation qui se cache tout derrière. Alors que ce que je cherche à vivre est : Amour, Harmonie, Joie et Intelligence infinie. Entre les deux, il y a un processus : mise en conscience et intégrer la conscience à mes propres pensées (comme vu plus haut), pardon à soi-même pour me libérer.
Personne ne peut se soustraire à ce travail : ni toi, ni vous, ni moi… Il constitue une partie essentielle du processus de l’éveil. Plus vite nous comprendrons cela, plus faciles seront les choses pour chacun d’entre nous.
Avec Amour ♥
De la théorie à la pratique :
N’avez-vous jamais senti que quelque chose d’important allait se passer sans pouvoir toutefois dire ce que cela allait être ?
Pour développer votre capacité intuitive, commencez par prêter attention à ce qui se passe à l’intérieur de vous. Prenez conscience de ces dialogues intérieurs et notez-les dès qu’ils se présentent à votre esprit. En devenant plus conscient de la façon dont vous fonctionnez intérieurement, vos commencerez à repérer les sentiments intuitifs dès qu’ils apparaissent et deviendrez plus à même de vous en servir consciemment.
La plupart des gens s’aperçoivent qu’avec un peu d’entraînement on devient beaucoup plus conscient des messages intuitifs qui nous parviennent. Le stade suivant consiste à apprendre à les déchiffrer et à agir en en tenant compte dans la vie pratique. Souvent, quand nous suivons nos intuitions, nous ne savons pas exactement ce que nous faisons, ni pourquoi nous le faisons, mais les résultats sont en général surprenants et intéressants. Une fois l’action accomplie, alignée à l’intuition > validez : « oui, je l’ai fait ! ». Les ateliers, canalisations et le programme TEAM vont vous aider à développer ces capacités.
Rappelez-vous que percevoir et suivre votre intuition est un processus complètement naturel. A apprivoiser ou à vous la réapproprier avec un peu d’entraînement. (>Canalisation online et programme TEAM2 – septembre 2020).
Chaque moment que nous vivons est un moment qui nous demande de poser quelques gestes de pardon. Chaque fois que je me juge ou que je juge quelqu’un d’autre, chaque fois que je me sens effrayé et/ou attaqué, chaque fois que je veux attaquer mais que je m’en empêche de le faire, chaque fois que je justifie mon attaque ou ma réaction de défense, il m’est demandé de pardonner. Mais qu’est-ce que ça veut dire ?
Le pardon se vit dans le présent, dans le moment. Laisser le passé être le passé. Je ne transporte pas le passé dans le présent et je ne transporte pas le présent dans le futur. J’accepte seulement le présent tel qu’il est. Voilà ce qu’est le pardon.
Ça n’a rien d’ésotérique. Je laisse tout simplement ce qui est « être ». Je n’essaie pas de le combattre. Je n’essaie pas de le changer, ni de l’interpréter. Je le laisse simplement être. Je permets à ce qui est là d’être avec moi et je me permets d’être avec ce qui est là. J’accueille l’expérience et les émotions/ressentis qui accompagnent : acceptation, je laisse mûrir et vient ensuite la compréhension. Avec le temps, mon expérience devient une vérité vivante qui me guide et inspire les autres. Ça demande beaucoup de patience – deux « ingrédients » indispensables à la guérison : le temps et l’amour. Ne pas aller trop vite : prendre le temps de vivre « avec » pour que mon expérience soit un enseignement. Ce processus de maturation amène le changement. Tant que je consacrerai de l’énergie à tout conserver dans le même état, je ne pourrai pas bénéficier des leçons que ma vie m’offre spontanément. Je dois être ouvert au changement. Et prêter attention à mon « égo » qui me fait croire que je sais dans quelle direction doit se faire le changement. Ça, je ne le sais pas. Ça, je ne devrais pas le savoir. Ça vient de l’inconnu, de quelque part au-delà de moi, ou de tellement profond à l’intérieur de moi que je ne le reconnais pas/ Que je ne le connais pas encore. Ça vient à travers moi et, en passant à travers moi, ça me transforme.
J’ai foi en ce processus : tout est très bien tel que c’est. Peu importe ce qu’il amène. Le Créateur m’aime et reste fidèlement à mes côtés à travers toutes mes expériences/peines. IL m’amène au « meilleur de moi », pour un bien pour moi et pour tous.
De la théorie à la pratique :
Notre intuition essaie sans cesse de nous emmener là où nous avons besoin d’aller et, ceci, de la meilleure façon possible (wébinaire « intuition » 27/05/2020). Quelque fois cela implique de « prendre de la hauteur » et « quitter » ce à quoi nous sommes très attachés et nous pouvons avoir l’impression que tout s’écroule dans notre vie. Et cela peut être effrayant… Si nous sommes poussés à abandonner quelque chose, c’est peut-être parce que nous n’en avons plus besoin ou qu’il est temps pour nous de changer, même si nous ne le savons pas encore 😉 C’est alors qu’il est important d’avoir la Foi/Confiance. Plus nous serons entraînés à suivre nos intuitions et voir comment les choses se passent en fin de compte, plus notre Foi/Confiance dans le processus se développera. Et plus notre Force Vitale circulera avec fluidité ! Il nous faut demander à notre guide intérieur : « Donne-moi un signe clair pour … (ceci ou cela) ». Demandez clairement permet de recevoir une réponse claire : signe, synchronicité,… Ressentons la sensation, écoutons le message et agissons !
Personne ne m’oblige à me conformer aux valeurs et standards de la réalité dominante autour de moi, et pourtant, parfois, je m’y conforme. J’ai besoin de gagner ma vie. Je suis (encore/aussi) soucieuse du regard des autres, de ce qu’ils pensent même si je m’exprime créativement et d’une façon authentique. La pensée de l’abondance ne m’aide pas, à elle seule, à payer mes factures. Si je vais à l’encontre du courant, je peux m’attendre à plus de frictions que si je le suis et je ne peux espérer un retour financier positif…
Plus j’aurai foi en ma propre vision créatrice, plus j’aurai tendance à explorer des territoires non répertoriés (en avant sur mon temps, parfois… ;-)), plus je « communique » (newsletter, facebook, Instagram,…), plus je me sens libre d’être et de m’exprimer pleinement. Dans un langage qui vient du cœur et adapté, pour autant que possible, chacun comprenne. Ni artifice, ni tentative d’impressionner, aucune prétention à être ce que je ne suis pas : juste le désir sincère et vrai de partager.
Mais est-ce que cela permet aujourd’hui de gagner sa vie ? Peut-être, peut-être pas…
Le monde dans lequel nous vivons n’a pas encore atteint ce stade de confiance et d’investissement dans le processus créatif. Je ne peux me permettre de renier ces aspects de mon être : authentique et créatif, simplement parce qu’ils ne me soutiennent pas financièrement. Ces aspects sont essentiels à ma vie et au respect de Soi. Déclarer mon avis simplement, être « canal » pour transmettre des infos, inviter au dialogue, bâtir des ponts/liens entre les diverses perceptions des gens, stimuler la croissance/conscience/éveil… Des paroles et des gestes que bâtit une communauté.
Personne n’est destiné à être isolé, chacun est destiné à s’exprimer honnêtement. Mais le désir d’approbation bloque parfois l’autoexpression honnête/authentique/transparente. Sans la pleine réalisation de la créativité de chacun, la vie sociale devient terne, banale, restrictive et ennuyante. Il n’y a pas d’éclat, pas d’énergie, pas de diversité, pas d’échange.
Si je veux améliorer la vie de mes enfants et de mon entourage, je commence par honorer mon propre processus créateur d’abord, par appuyer mes enfants/amis/patients dans leur propre processus créateur ensuite. Ne pas me perdre dans les « affaires » de la vie. M’accorder des moments « pour moi » et « avec moi » pour honorer le Soi et des moments pour partager le fruit de mes réflexions/expressions/canalisations. Plus je ferais confiance à mon processus de création et à mes efforts pour appuyer celui des autres, plus je participerais à créer les conditions pour un monde sain et aimant. De façon croissante, comme je m’engage dans le rituel d’honorer le Soi (=ma divine présence « Je suis »), je vois que l’appui financier à mon processus s’établit dans ma vie. Ce genre d’appui ne se bâtit pas en un jour, malgré les promesses des programmes/prophètes de l’abondance. Il évolue avec le temps, au fur et à mesure que l’engagement/qualité de présence à ma divine énergie « Je suis » prend racine et atteint les profondeurs de l’être. Poursuivre ce en quoi je crois, tout cela fait sens dans ma vie.
Avec Vous, pour Vous !
De la théorie à la pratique : SOIGNER
C’est s’occuper du bien-être de quelqu’un, être attentif à prévenir ses désirs, à lui faire plaisir. Procurer les soins nécessaires à la guérison de quelqu’un.
Soigner engage totalement la personne qui s’occupe de l’autre ; c’est un acte fondé sur la BIENVEILLANCE (altruisme, conscience, empathie, prévenance, solidarité) qui implique une responsabilité personnelle directe. On peut soigner pour témoigner de la gentillesse, pour éviter que l’état d’une personne ne s’aggrave, pour lui prodiguer bien-être et réconfort. Soigner signifie aussi l’existence d’une souffrance physique, morale, émotionnelle, psychique,… qu’il faut accompagner à apaiser. Soigner est synonyme aussi de présence et de prise de conscience.
Les pensées négatives prospèrent tout autant que les pensées positives. Parce que je présente un mélange de pensées positives et de pensées négatives, ma situation extérieure reflète les deux.
Je ne serais pas capable de chasser les pensées négatives en me focalisant sur les positives. En fait, plus je me concentre sur les pensées positives, plus je donne du pouvoir à mes pensées négatives.
Personne ne peut échapper à ce paradoxe.
Je peux oublier la pratique des affirmations positives. Elles ne sont qu’illusion. J’arrête d’essayer de changer mes pensées négatives : être simplement conscient d’elles.
Être conscient des émotions qui leur sont attachées. Et laisser ma conscience me mener. Comment apprendre la foi, la confiance en l’énergie divine (vous l’appelez comme vous voulez), comment apprendre à être soutenu par cette énergie si j’interfère continuellement avec ses rouages ?
Lorsque je regarde mes pensées, je suis conscient qu’une partie de moi veut tel résultat et qu’une autre partie en veut une autre. J’ai l’impression alors de devoir choisir entre ces deux parties et cela me met sous pression et génère en moi le conflit. Par la pratique, je sais pourtant que la meilleure manière de sortir du conflit est d’accepter les deux positions : une pensée n’est pas « meilleure » que l’autre. Tant que je ne trouverai pas cet endroit de neutralité, je continuerai à imposer ma propre signification à ce qui se passe dans ma vie, et j’aurai toujours une sensation de manque, de « punition », d’injustice parce que je ne reconnais pas ma propre valeur (>methode 100%toi, rdv individuel). Je sais maintenant que c’est la peur qui me fait sentir « victime » du monde, des autres, de la vie. La peur, ma peur inverse la vérité. En tant que « victime », je ne contacte pas mon pouvoir créateur (pour aller vers le changement) et mon identité dans l’amour. Embrasser les deux parties ou bien aucunes. Être neutre et la vie (avec ses propres conditions) viendra à ma rencontre…
Ceci est un acte d’amour : pleine présence de mon entièreté, à mon entièreté, en ce moment même. La présence à moi, la bienveillance, l’amour transcendent toujours toute espèce de dualisme. L’amour ne prend jamais partie, il valide les deux côtés. Comprendre/Intégrer/Ressentir que je ne suis pas coupée de l’amour même si je ne me sens pas complète, en souffrance, en conflit,… (>Canalisation de groupe). Lorsque je vois le monde avec cette neutralité absolue, je comprends qu’il n’existe que comme un outil pour mon propre processus d’apprentissage.
De la théorie à la pratique :
S’ouvrir à l’intuition, c’est s’ouvrir à une autre perception du monde, c’est forcément se heurter à de vieux schémas, à des peurs anciennes qu’il faudra dépasser. Autant s’y préparer et se faire accompagner (>méthode 100%toi).
Si vous comprenez seulement les mots intention et confiance, vous avez la clé de l’intuition. Lorsque l’on veut poser ses questions, il est essentiel d’avoir une intention aussi claire que le cristal. De même, il est impératif d’avoir confiance que vous obtiendrez l’aide/la réponse dont vous aurez besoin. Cela demande du temps, de l’entraînement et de VALIDER les expériences lorsque vous agissez sous l’impulsion de l’intuition.
Comment fait-on pour utiliser son intuition et avoir une foi totale en ces énergies qui nous entourent et les mettre à notre service ? >Webinaire 1x/mois et atelier intuition 29.03.2020 : inscription sur le groupe fermé « Wébinaire Intuition & Plus… » via la page fb 100%toi
Partager mon expérience ? Oui, bien sûr ! Mon (ton) histoire peut être d’une grande aide pour les autres. Mais les limites d’un tel partage sont claires. C’est MON expérience que je partage, une histoire, pas une prescription pour les autres. Quelle que soit la vérité qu’une personne percevra dans mon histoire, ce sera la vérité qu’il est prêt à recevoir. Et cela, évidemment, sera différent pour chaque personne qui entendra mon histoire.
En bout de ligne, je suis la seule responsable des croyances que j’accepte. Quelqu’un peut me raconter de terribles mensonges, mais il ne sera pas responsable si je les crois.
Chacun est guidé d’une manière unique et possède des dons uniques à partager. Je célèbre cette guidance et ces dons, mais je n’essaye pas de guider les autres et je n’accepte pas d’être guidée par qui que ce soit même s’il me l’offre. C’est un faux cadeau. Car ce qui fonctionne pour l’un ne fonctionnera pas nécessairement pour l’autre.
Le seul conseil que je puisse donner à celui qui cherche est : cherche la vérité dans ton propre cœur, car il n’y a que là que tu puisses la trouver. (> session de canalisation de groupe)
Tout le monde, à un moment ou l’autre, remet son pouvoir à l’extérieur, pour mieux apprendre à le reprendre. C’est une importante et profonde leçon. Cela signifie que je suis plus près de ma propre vérité, et si je suis plus près de ma propre vérité, alors je suis au plus près de mon divin intérieur, de la vérité universelle, de ma connexion avec le Un, le tout,… J’y parviens non par la conformité, mais par l’authenticité. Lorsque j’ai le courage/la liberté d’être moi-même, je suis dans une vibration haute et je reçois/vis, alors, la plus haute vérité que je suis en mesure de recevoir.
La liberté vient à moi lorsque je rejette toute forme d’autorité extérieure et lorsque je refuse d’exercer de l’autorité sur qui que ce soit. C’est le moment où le Soi vient à moi, devient moi. Aujourd’hui, je réclame ce qui est à moi. Je prends le pouvoir qui me revient. Je laisse aux autres leur pouvoir. Je n’accepte aucun autre « maître » que celui qui vit dans mon cœur. Lorsque je comprends que j’ai une liaison directe avec le divin, en tout temps, je cesse de chercher des réponses à l’extérieur de moi.
Seul le « divin en moi » sait. Je n’accepte aucun substitut, n’élève aucune idole au-dessus. Ceux qui veulent qu’on leur dise quoi faire découvriront bien assez tôt que personne n’a de réponse pour eux. Ne sois pas un de ceux qui remettent leur pouvoir à « l’extérieur ». N’accepte dans ta vie que les enseignements du « divin en soi ». Ecoute et reçois-les dans le silence de ton cœur. Pour une vie alignée, 100%toi !
De la théorie à la pratique :
Au cours des nombreuses années que j’ai passé à apprendre aux gens à suivre leur intuition, j’ai entendu d’innombrables histoires où un évènement difficile ou même désastreux amène finalement un résultat merveilleux de façon totalement inattendue.
Notre intuition essaye sans cesse de nous emmener là où nous avons besoin d’aller et, ceci, de la meilleure façon possible. Quelquefois cela implique de quitter ce à quoi nous sommes attaché et nous pouvons avoir l’impression que tout s’écroule dans notre vie. C’est peut-être parce que nous n’en avons plus besoin et qu’il est temps pour nous de changer. Lorsque nous regardons notre passé, nous voyons rétrospectivement cette nécessité et constatons notre intérêt, même si le passage est parfois difficile. C’est alors qu’il est important d’avoir confiance, d’avoir la foi. Plus nous sommes entraînés à suivre nos intuitions, plus notre foi dans le processus augmentera.
Si vous n’êtes pas certain que votre intuition vous guide dans telle ou telle décision, vous pouvez demander à votre guide/voix intérieure (vous l’appelez comme vous voulez) à avoir des réponses plus claires : « Ok, je pense que tu veux que je fasse ceci mais je n’en suis pas certain. Si je me trompe, fais en sorte que ce soit bloqué d’une façon ou d’une autre. Donne-moi un signe clair que ce n’est pas la bonne voie ». Si vous demandez des éclaircissements, vous obtiendrez immédiatement un signe, intérieur ou extérieur, ou bien vous sentirez si l’énergie circule avec fluidité en vous ou non.
Vous voulez apprendre et/ou développer votre intuition ?
> Nouveau pour 2020 : Webinaire « Ouverture à l’intuition ». Journée « Connexion/Exercice pour ouvrir et renforcer son intuition/connexion », les dates seront bientôt en ligne sur www.mariejaucot.be !
Il est important de me rappeler que : tout ce que je dis ou ce que je fais à une autre personne me renvoie le reflet de ce que je pense de moi. L’injure à l’égard des autres indique mes propres sentiments de honte et de rejet émotionnel. Ce n’est pas un mystère !
Seul celui qui souffre « frappe » les autres. Et qui ne souffre pas ? Qui n’a pas été blessé dans l’enfance ? De mon côté, c’était un père absent, une mère pas affectueuse envers moi et un environnement où il n’y avait aucune sécurité. J’ai développé un système de surcompensation, en mode survie et tout est devenu lutte … Souvent agressive parce que me sentant agressée par les autres, par la vie … Heureusement, je n’ai pas basculé dans quelque chose de plus dur/grave (drogue, violence, vol, …) et aujourd’hui, cela s’est arrêté. Je suis plus apaisée, en harmonie/douceur. Grâce à une meilleure connaissance de moi (>ATM : « Qui je suis ») et des années de « travail » thérapeutique personnel (de différentes sortes), vers un éveil à ma responsabilité envers moi et envers les autres. Parfois, je me mets dans la peau de certaines personnes (criminel, terroriste,…) : ferais-je mieux ? Honnêtement, je ne sais pas… Pour moi, derrière ces rudes façades se trouvent une souffrance et un jugement de soi accablants. C’est là que commence le chemin de l’amour et de l’acceptation : je vois le petit enfant, celui qui ne se sent pas aimé/accepté, celui qui ne trouve pas sa place. L’idée n’est pas de nier/repousser/juger. Je reconnais qu’il y a en moi (comme en chacun d’entre nous) des formes/parts de cette violence. Ma responsabilité est de les regarder en face : « Sortez de l’ombre, j’ai besoin de vous comprendre ! ». Je pourrai, dès lors, regarder ma souffrance/violence/agressivité, l’accueillir comme on accueille un enfant blessé et m’en occuper : mettre de la lumière, l’aimer. C’est œuvrer comme un bâtisseur de paix, ceci est servir : en donnant aux autres, je me donne à moi-même et je rayonne vers les autres.
Reconnaître mes blessures est le 1er pas dans le processus de guérison. Puis viennent les émotions : peurs, colère, tristesse, désarroi, culpabilité, sentiment d’injustice,… C’est dur mais cela doit être fait (au mieux, se faire accompagner). Ensuite, arrêter de me punir de n’être pas assez « bien ». Mon sentiment de rejet ne sera plus nourrit… Mettre en lumière toutes mes parts d’ombre, arrêter de les nourrir, ici c’est un travail de réhabilitation/d’intégration. Plus de pensées taboues ! J’arrive alors à assumer la responsabilité de mes pensées que j’entretiens et les effets de ces pensées. Ma puissance intérieure et ma confiance/estime de moi commencent à s’installer et je réalise que j’ai le choix de mes pensées, donc de ce que je dis et de ce que j’en fais.
Les semences de toutes mes actions se trouvent dans mes pensées. Ce qui commence en tant que pensée devient rapidement parole. Ce qui devient parole devient rapidement action.
Le choix est la clé. Quelle libération !
De la théorie à la pratique :
Un penchant naturel, spontané, chaleureux qui porte deux personnes l’une vers l’autre : c’est de la sympathie. Moi, j’aime parler d’AMOURITIE. Elle se situe dans l’équilibre entre l’amitié et l’amour et emprunte même un peu des 2 pour exister. C’est un sentiment harmonieux qui n’engage en rien et qui permet de manifester de la bienveillance, de la chaleur humaine et de l’affection dans les échanges.
Avoir de la sympathie pour quelqu’un s’apparente à l’estime et s’enveloppe de douceur quand je donne cette l’énergie positive. Une énergie enrobante et souvent spontanée. Pour certains, trouver une personne sympathique signifiera : « Je lui trouve des qualités humaines ». Elle est donc directement liée au cœur et c’est pour cela que j’aime l’appeler : amouritié…♥
A contrario, trouver une personne peu sympathique est une personne avec qui, très rapidement, j’ai l’intuition que les cœurs ne s’accorderont pas, resteront sourds l’un à l’autre. Il s’agit peut-être d’une absence d’attraction ou un manque de reconnaissance réciproque. La sympathie/amouritié ne consiste pas à éprouver le même état que l’autre (=mimétisme) mais à comprendre l’état de l’autre. C’est une forme de compréhension, une intelligence du sentiment et non une participation. Elle suppose la bienveillance, l’écoute et l’égalité (donner/recevoir) et proscrit la pitié.
Comment devenir plus sympathique ? Réalisez les qualités qui vous plaisent le plus chez quelques-uns de vos amis. Choisissez une qualité que vous aimeriez développer un peu chez vous à partir d’aujourd’hui… (>ATM « Amour et moi »)
« Quelquefois, il y a des sympathies si réelles que, se rencontrant pour la première fois, on semble se retrouver » Alfred de Musset
Je ne peux m’empêcher de faire des plans… Je sais pertinemment bien que tout besoin de penser au moment qui suivra entretient ma peur, les peurs et me rattache au passé… Je le reconnais. Dans ces moments-là, j’ai grand besoin également de compassion pour moi-même. Ma plus grande responsabilité est de m’aimer et d’être aimable avec moi-même en tout temps. (> Atelier Magique « L’Amour et Moi » – 16/07). Donc : « ne pas me condamner si je ne peux pas m’empêcher de faire des plans ».
L’idée est de surveiller mes plans et ce qu’il advient d’eux. Que se passe t’il lorsque je suis incapable d’abandonner un plan ? Plan : ami ou ennemi ? Ou résultat de manque, de mon attachement au passé ?
Quand je dois faire des plans, autant les faire consciemment, les surveiller avec plus de conscience. Observer si la structure externe que je crée dans ma vie correspond toujours à ma réalité interne, voir si je ne me compromets pas… A mesure de mon observation, je vois que peu de choses restent les mêmes et beaucoup se transforment. La nature de l’esprit, des sentiments, des pensées est changeante. Mon but est de reconnaître ce qui est éternel et ce qui ne l’est pas. Ce qui est éternel devient la fondation de « qui je suis », ce qui est temporel va être abandonné peu à peu (> Atelier magique » Qui je suis » – 09/07). C’est parfois déroutant/déstabilisant/émotionnant/désespérant de découvrir la temporalité de l’esprit. Et peut créer un « mal être ». Pour m’apaiser : j’essaye de rester « présent » au flux et reflux de mes pensées/sentiments, sans juger. M’aimer… Cette expérience me conduit au-delà de mes limites (qui semblent pourtant réelles). Au-delà de la souffrance venue de ce « mal être »…
Tout ce processus est un mécanisme d’apprentissage, d’éveil pour me faire prendre conscience de ma propre trahison/abus, auto-sabotage. Arrêter de bâtir sur des terrains mouvants, des structures changeantes. Placer ma foi seulement là où elle est en sécurité, sur le lit solide de mon expérience, de « qui je suis ». Agir à partir d’un lieu de paix, non à partir d’un désir/manque.
Mes désirs vont et viennent, la paix est éternelle. Les relations/projets qui soutiennent ma joie, la paix et une constante guérison méritent mon engagement. Par « estime de moi », je ne bâtirais plus sur des terrains, rocailles inhospitalières, interactions abusives, sables mouvants séduisants…
Être bon pour moi. Personne ne peut guérir ma vie ou m’apporter une joie que je n’ai pas déjà dans mon cœur. Construire à partir de ce que j’ai, pas à partir de ce que je veux. La chaîne des désirs est sans fin. Elle m’entraîne toujours à l’écart de moi-même : piètre endroit pour construire les fondations de ma maison.
Prendre le temps. Accorder mon entière attention, mes intentions d’amour à ce qui en vaut vraiment la peine. La précipitation ne mène à rien de bon. Relation, communication dans l’authenticité, la fluidité/facilité, le respect permet à l’intimité de grandir, la cohérence s’installe. Le terrain devient plus solide et le socle « grandit » petit à petit (pas toujours comme et quand je l’aurai voulu), nourri de mon engagement, mon amour, ma constance et ma dévotion. Ce que j’aime prospère, se déploie : c’est le mouvement de la grâce dans ma vie.
Ce n’est donc pas juste une question d’abandonner mes plans mais une question de trouver ce qui est réel, ce qui est vrai, ce qui est cohérent et fiable pour moi. Si/quand je le trouve, je peux l’offrir à quelqu’un d’autre. Trouver ce qui est solide en moi et cesser de chercher la solidité chez les autres, elle ne viendra jamais de l’extérieur. Ancrer ma vie dans la vérité de mon expérimentation et partager/rayonner.
La grâce repose sur un engagement tenace envers moi-même, un engagement qui dit non, gentiment mais fermement, à l’invitation à s’auto-trahir, à l’abus, à la victimisation, au jugement. Lorsque je réalise ma responsabilité, je me libère du passé, je rentre dans le présent avec authenticité et liberté : liberté de choisir la vie que je veux vivre et de rayonner/partager.
De la théorie à la pratique :
La pratique de techniques psycho-corporelles comme le yoga, Pilates, Bodyart,… aide à développer la perception intuitive. Elles apprennent à se concentrer sur les sensations, à respirer, à calmer les pensées, à vivre/ressentir « dans » son corps. Elles aident ainsi à se défaire de ce qui occulte notre intuition, ce qui est engrammé dans nos cellules et notre mental. Il y a aussi le brouillard émis par nos peurs et nos doutes, nos croyances familiales/religieuses. Dans ce cas, la respiration en pleine conscience est aussi un bon outil de libération : Inspirez et expirez en comptant les temps et en se connectant aux sensations de notre corps. Essayez que l’expire soit plus long que l’inspire. Inspirez par le nez, expirez par la bouche. Calmement… Notez vos sensations, exprimez vos peurs/doutes à haute voix. Criez au besoin. Faites le tigre 😉 RRROOOAARRRHHH
Prenez un temps pour ressentir l’apaisement et recommencez si nécessaire. Quand la paix s’installe, l’intuition peut être entendue. Ensuite : Agissez !
(> Workshop intuition – 12/06)
Quand je vous disais que, pour le moment, le voile des illusions tombe…
Les évènements se succèdent à un rythme incontestable. J’essaye de leur donner un sens, j’interviens, parfois 😉 je résiste et cela « casse » le rythme. Je me rends compte aussi que c’est contre-productif : aussitôt que je crois comprendre la signification d’une chose, évènement,…, je cesse d’être capable de la comprendre. Comprendre une chose demande mon appréciation, mon temps, ma disponibilité, ma sympathie, empathie,… pas uniquement un processus intellectuel.
Mon intellect va émettre un jugement et ensuite, me faire « sortir » de moi pour chercher un soutien, une aide,… C’est une manière de faire qui, pour moi, a ses limites. Aujourd’hui, je ne me sens pas guérie de l’intérieur quand j’active ce processus.
Tant que je n’ai pas séparé les évènements extérieurs des jugements dont je les ai « voilés », je ne peux voir/ressentir leur signification. Je me dis : « A quoi ressemblerait ma vie maintenant si je ne la jugeais pas ? ». Si je veux connaître la « réalité », je dois la libérer de mes jugements et demeurer avec elle, en-elle simplement et profondément. Ceci pour n’importe quelle situation survenant dans ma vie.
Un exemple : Je me coince régulièrement le dos (sacrum et sciatique enflammé). Avant, je râlais, je cherchais des solutions rapides,… Je décidais de ce que cela signifiait : tu trop de ci, tu pas assez de ça, toujours à ceci, tu, tu, tu, tu,… Aujourd’hui, je m’installe en compagnie de la douleur/blocage. Je communique avec, je lui laisse le temps de me dire/donner son message. Je me rends compte de tout ce que je pensais à ce sujet (positif/négatif), de mon interprétation. Aujourd’hui, j’arrête de décider de ce qu’une chose signifie. Je la laisse simplement être, j’entre en elle, je bouge avec elle, respire avec elle. Je me libère de toute pensée et la compréhension vient… Elle me parle d’émotions bloquées depuis des vies, de résistances au changement, de tristesse, de colère, de peurs,… Il se peut que je n’arrive pas à tout traduire en mots, cela n’a pas d’importance. L’aperçu intérieur viendra. La signification réside au plus profond de mon esprit. Si je veux découvrir cette signification, je n’ai qu’à regarder mon propre esprit et ne plus m’agiter vers l’extérieur. Même si c’est la 1ère chose que j’ai envie de faire : un avis, un deuxième, voir un troisième ne feront que rajouter des voiles (interprétations/vécus des autres) sur ma réalité. L’idée n’est pas de me couper des autres. Il est parfois nécessaire d’avoir un diagnostic. Et cela fait du bien d’être accompagné, qu’on me tienne la main, qu’on s’inquiète,… mais, je vous rassure : vous n’avez pas à résoudre mon problème.
Je ne cherche plus de signification en dehors de ma propre expérience. Si je veux aller droit au cœur du problème : je m’écarte de toute interprétation et je reste présent à la situation. Je fais confiance à la force intelligente qui a fait apparaître cette situation dans ma vie pour qu’elle me révèle la signification qu’elle y a mise pour moi. C’est un acte aimant : il me libère de juger, interpréter, conceptualiser, rationaliser une situation.
Quelque chose bouge plus profondément en moi. Patience, douceur, ne pas forcer ma vie à s’ouvrir… Mon « Être » s’épanouit de lui-même. La grâce se révèle en deçà de l’évènement, du soi-disant hasard des évènements de la vie. Toute la joie et la beauté de ma vie est à ma portée. Faire confiance à ce qui est et y être présent : une pratique simple pour que s’effondrent tous les obstacles à la vérité.
De la théorie à la pratique
Des chercheurs ont montré que les personnes qui ont du mal à dire NON ont plus de risques d’être stressées ou bien victimes de burn out ou de dépression.
Le NON est le signe du refus, il exprime un désaccord face à un avis ou une demande. Il n’est pas toujours facile de dire « non » car le « OUI » d’apparence positive cache souvent le fait de ne pas oser dire non. On dit oui pour ne pas décevoir, le oui rassure et obéit à certaines de nos croyances issues de notre éducation.
Un « faux » oui qui vaut en réalité un « non » ? Un certain nombre de peurs faussent notre réponse comme la culpabilité, la peur de décevoir ou de faire de la peine, la peur du rejet ou du regard des autres, notamment face à la pression d’un groupe ou de son supérieur hiérarchique. Ces peurs cachent en réalité un très fort besoin d’être accepté et aimé, on préfère dire oui même si cela va à l’encontre de notre bien-être au lieu d’affirmer nos choix et nos valeurs.
Un « vrai » non ou un « faux » oui apparemment gentil ? Le « faux » oui d’apparence « gentil » va en réalité à l’encontre d’une vraie bienveillance à l’égard de son interlocuteur car il peut conduire au conflit et finalement amène déception dans le cas, par exemple, de promesses impossibles à tenir.
Oser dire un « vrai » non, quand il est justifié, c’est prendre en considération ses propres besoins, ses ressentis tout en étant à l’écoute et en empathie avec l’autre. Le non définit les limites. Le « vrai » non peut être considéré comme l’expression d’une bienveillance car, en expliquant les raisons d’une réponse négative, l’autre peut être déçu mais très vite comprend.
Cette capacité à s’affirmer et être respecté permet une vie relationnelle plus saine, authentique et de qualité, fondée sur le respect de l’autre et de soi.
«J’y arrive pour les autres mais pas pour moi… »
« Je trouve toujours du temps pour les autres mais, pour moi, c’est plus difficile … »
« J’ai du mal à demander/recevoir pour moi (salaire, facture impayée, augmentation,…) mais j’y arrive facilement pour quelqu’un d’autre… » >>> Atelier Magique : Vers la réussite « Mon lien à l’argent »
Il était plus facile, pour moi de satisfaire les besoins des autres que d’être consciente de mes propres besoins. ÉTAIT… Servir les autres, en s’oubliant, peut-être, dans certains, cas une forme d’auto-trahison, de manque d’auto-respect. Echanger son bien-être pour celui des autres, s’ignorer pour plaire aux autres et se faire aimer, c’est se sacrifier.
Quand j’ouvre mon cœur, j’ inclus les autres dans mon sentiment de bien-être. Ma famille, mes amis, et ultimement mes ennemis… Plus je m’adoucis, plus j’ouvre mon cœur, plus j’agrandis une qualité de présence à « Qui je Suis », à mon Moi supérieur. Mon taux vibratoire monte/augmente. Ensuite, l’amour s’étend à l’extérieur, je rayonne d’une énergie différente. Cela débute par l’accueil de « Qui je Suis » et ce que je vis, fidèle à mes valeurs. (Pour augmenter mon canal d’amour, mon taux vibratoire et attirer à moi du « nouveau » : >>> Canalisation de groupe). Ensuite, l’amour accueille ceux pour qui je me soucie : je respecte leurs expériences et je m’en préoccupe. J’ai à cœur leur plus grand bien.
Le contraire me fait automatiquement entrer dans la triangulation « bourreau/victime/sauveur ». Horreur ! Souffrances assurées. Je dis : NON ! Mon éducation/ma culture m’ont appris à toujours répondre « présent » pour servir les autres (surtout en tant que femme). Dans le cadre d’une spiritualité en conscience, si je sens que le Oui entrainerait un déséquilibre, une injustice, un non-respect (de « Qui je suis ») : je dis Non. Ce n’est pas la réponse la plus populaire mais c’est, pour moi, la plus responsable et respectueuse pour moi et pour tous.
L’apprentissage de l’équilibre me fait travailler sur mes ressentis d’injustice, de culpabilité, de colère, de ressentiment,… Avec l’aide d’un accompagnement (thérapie ou autres…), j’apprends à décoder mes émotions. Je vois comment et où ma vie a été débalancée et je peux alors rectifier les choses. Cela demande un peu d’attention/vigilance. En pratique : si je suis celle qui donne, je peux apprendre à recevoir. Si je suis celle qui reçoit, je peux apprendre à donner. Lorsque l’équilibre s’établit dans mes relations, il s’installe dans tous les plans de ma vie. Le Miracle de l’égalité! Plus de déception, ni de frustration ! Justice, respect et amour dans ma vie, peu importe où j’irai, grâce à cette vibration élevée d’amour, de « Qui je suis », de belle présence à Soi !
De la théorie à la pratique
« Estime de Soi, reconnaître sa propre valeur »
Une bonne estime de Soi, ce serait comme de mettre ses pensées, paroles, actes en accord/congruence avec ses valeurs, ses intimes croyances. C’est un véritable acte de bienveillance envers soi-même. Pour bien l’intégrer : prendre le temps de valider à chaque fois que je me sens en « accord parfait » = auto-reconnaissance.
Au contraire, une mauvaise estime amène à se déprécier, s’auto-critiquer, se dévaloriser. Dans ce cas, la culpabilité, le sentiment d’impuissance, la rage augmentent…
L’estime de Soi est nécessaire pour vivre des relations et des situations épanouissantes et bénéfiques. Si je pense que je n’ai pas de valeur, je ne me trouverai pas digne d’être heureux : « Qui suis-je pour mériter cela ? »… Les choix que je fais et les relations que j’ai sont le reflet de l’estime de Soi (une histoire de taux vibratoire, cfr newsletter).
Pratiquer l’auto-bienveillance et l’amour de soi. S’estimer, c’est croire en Soi et ses valeurs : un sentiment de fierté intérieure qui rayonne dans tous les plans de ma vie (relations, réalisations,…). C’est aussi se respecter : ses émotions, ses ressentis, être connecté à ses besoins : dire non à l’autre/dire oui à soi-même.
Exercice : Au moins une fois par jour, se dire des affirmations : « Je suis quelqu’un de bien », « Je mérite de belles choses », « Je suis un cadeau pour les autres », « Je fais du mieux que je peux »… Laisser filer les pensées du genre : « c’est stupide », « tu as l’air ridicule »…
Persévérez ! Pratiquez !
« Tu vaudras aux yeux des autres ce que tu vaudras à toi-même » – Proverbe latin